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Dans le futur, mille ans après un conflit meurtrier appelé “les sept jours de feu”, la Terre est devenue complètement …
Une ville de l'Est de la France. Un commissariat que tous les flics surnomment "L'Usine". …
J'avais un souvenir flamboyant des polars de Pagan lus vers la fin du lycée. Quand j'ai découvert celui-ci, je me suis jeté dessus.
La déception a été à la hauteur de mes attentes. Il y a toujours des fulgurances dans l'écriture, mais comment dire :
Le coup du bonhomme aigre et asocial, qui pue la clope et rigole quand il se brûle, soudainement désiré par une très belle jeune femme, lumineuse et à la libido démesurée, c'était déjà ringard il y a 20 ans, aujourd'hui c'est affligeant.
Camarades auteurs, n'hésitez pas à réinventer vos représentations des rapports de séduction, et à arrêter de dépeindre vos héros comme des séducteurs innés, ça nous changera.
Désormais adulte, Syffe est chef de la petite troupe d'élite qu'il a constituée.
L'extension de …
Toujours aussi plaisant de retrouver Syffe. C'est rythmé et bien écrit, ce qui n'est pas toujours évident après plusieurs tomes d'un série. Deux bémols mineurs : l'intrigue traîne un peu en longueur, et le narrateur-héros a une tendance un peu répétitive à s'apitoyer sur son sort.
Août 1992. Une vallée perdue quelque part dans l'Est, des hauts-fourneaux qui ne brûlent plus, un lac, un après-midi de …
Un essai puissant, juste et beau sur la fête et les potentiels révolutionnaires des corps dansants. Ça parle de marge, d'archipel, de nuit et d'heure bleue, de capitalisme tardif, d'ambiances, de ce qui se révèle quand on y voit trouble et de comment poursuivre la nuit pour sauver le jour.
Dans le futur, mille ans après un conflit meurtrier appelé “les sept jours de feu”, la Terre est devenue complètement …
Un peu mieux que le premier tome, car on aperçoit mieux les grands anciens à laquelle la série fait (supposément ?) référence.
Quoi ? Une BD qui porte le nom du jeu Nephilim ? Et se passe à l'époque de Deadlands ? Potentiellement le meilleur mashup - inattendu - possible ?
Eh bah c'est pas ouf. Ça surjoue un peu les personnages racistes et puants. Chers auteurs, pas la peine d'en faire une tonne, personne ne va vous décerner la médaille de la langue crue et ça ne renforce pas vraiment la tension dramatique. Vieux ressorts de polars déjà lus mille fois.
Le dessin est agréable, ça marche bien.
Intrigue bien ficelée, rien de révolutionnaire (sans mauvais jeux de mots - ça se déroule en 1789) mais c'était une lecture agréable qui donne envie de découvrir la suite, et d'autres récits d'Henri Lœvenbruck.
