Retour
David Bosc: Le pas de la demi-lune (français language, Verdier) Aucune note

Si on veut, c’est Marseille et on l’appelle Mahashima. Legūdo, ce sont les Goudes. Et …

J'ai passé le sommet de la colline et je sens que ma poitrine s'est rouverte au souffle des longues marches. La plupart des fidélités auxquelles nous nous tenons apparaissent dérisoires à tout autre que soit, parce que, sans doute, elles sont beaucoup moins morales que poétiques. Ainsi de mon idée d'aller dehors à chaque nuit de pleine lune.

Le pas de la demi-lune de  (Page 48)