Artsun a noté Démerdez-vous pour être heureux ! : 4 étoiles

Démerdez-vous pour être heureux ! de Chantal Loiselet
Embarquer des naufragés de la vie à bord de deux voiliers pour un voyage de plusieurs semaines : c’est le …
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Embarquer des naufragés de la vie à bord de deux voiliers pour un voyage de plusieurs semaines : c’est le …
Embarquer des naufragés de la vie à bord de deux voiliers pour un voyage de plusieurs semaines : c’est le …
Loin des stéréotypes, le rôle des femmes en piraterie ne s'est pas toujours limité au " repos du guerrier ", …
Loin des stéréotypes, le rôle des femmes en piraterie ne s'est pas toujours limité au " repos du guerrier ", …
J'ai passé le sommet de la colline et je sens que ma poitrine s'est rouverte au souffle des longues marches. La plupart des fidélités auxquelles nous nous tenons apparaissent dérisoires à tout autre que soit, parce que, sans doute, elles sont beaucoup moins morales que poétiques. Ainsi de mon idée d'aller dehors à chaque nuit de pleine lune.
— Le pas de la demi-lune de David Bosc (Page 48)
Ce fut peut-être un égoïste, un jaloux de ses frères, qui vint un soir mettre le feu aux grandes feuilles du registre foncier... Ce fut peut-être un idéaliste, ou le bras armé d'un assemblée de locataires qui fit brûler le noir cadastre après l'abandon du palais. En un autre lieu, à un autre moment, avec d'autres gens, les conséquences auraient sans doute été tout autres, et pareillement imprévisible. Pour nous, alors, ce fut une soudaine, une étonnante façon d'aérer l'existence, de lui donner du champ, de l'amplitude, et une assise simple: rien d'autre n'est à toi que ce dont tu prends soin. À Mahashima, il n'y a plus eu aucun titre de propriété. Possède une maison celui ou ceux qui l'habitent, qui la réchauffent, qui ne permettront pas qu'elle s'effondre. (Voilà qui sonne un peu magique et rien, bien entendu, n'est jamais aussi simple.)
— Le pas de la demi-lune de David Bosc (Page 37)
"C'est un monde renversé sans violence, ou presque, et qui retrouve son équilibre en ayant renoncé à durer toujours."
Si on veut, c’est Marseille et on l’appelle Mahashima. Legūdo, ce sont les Goudes. Et Manosque se dit Manosaka. Les …
Toujours aussi embarqué dans la prose Jaworskienne. Le mystère s'épaissit malgré la gouaille de l'ignoble mais attachant Don Benvenuto et le rythme haletant de ses aventures toujours plus foireuses...
Le grand retour du tueur à gages Don Benvenuto
Au cours du tournoi de Lyndinas, l'épreuve de force s'est envenimée …
Dès le début du roman, l'accent est mis sur des personnages commerçants, dans un fourmillement urbain permanent. Ça change, c'est frais. Mais le militarisme et les schémas un peu attendus de la fantasy reviennent vite, doublés d'une grosse sensation de déjà-vu. Le héros: un jeune homme à l'histoire mi-tragique mi-pathétique, aux grandes qualités mais qui porte sa croix et qui se retrouve à être recruté comme assassin du duc - ça ne vous dit rien? Robin Hobb, sort de ce corps... Bon, c'est un livre bien écrit et qui se lit vite, mais qui pèche par manque criant d'originalité. Dommage.
Enfermée derrière deux murailles immenses, la Cité est une mégalopole surpeuplée, constituée de multiples duchés. Commis d’épicerie sur le port, …
Le grand retour du tueur à gages Don Benvenuto
Au cours du tournoi de Lyndinas, l'épreuve de force s'est envenimée …